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 aron & will rp

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Faith
Faith
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Messages : 312
Date d'inscription : 28/03/2019

aron & will rp  Empty
MessageSujet: aron & will rp    aron & will rp  EmptySam 4 Mar - 17:19


( KEEP ME UP TIL 4AM )
allumé, éteint, allumé, éteint, notification. tu te précipites pour regarder ce que tinder, non, aron a à te dire. votre petit jeu de séduction te donne la chair de poule, envie de plus, toujours plus. t'es habituée à avoir ce que tu veux, toi. alors tu lui as proposé de venir à l'appart, passer une soirée hors du commun avec toi. le plus dur a été de virer ton frère du canapé. le convaincre de passer sa nuit ailleurs, c'était autre chose. t'as dû batailler, faire des pieds et des mains pour qu'il se casse chez son meilleur pote adoré. t'as bien roulé des yeux quand il t'a annoncé son plan de partir chez lui, parce que t'aurait aimé y aller, toi aussi. sauf que t'as mieux à faire. mieux à te faire. alors tu perds pas de temps, tu pousses littéralement ton frère vers la porte, lui donne des coups d'épaule pour qu'il sorte de chez toi. oui, chez toi, parce que, jusqu'à preuve du contraire, c'est toi et tes allergies qui paient le loyer. sa petite bourse n'aide franchement pas à grand chose. une fois que tu lui fermes la porte sur le cul, tu te mets à courir. courir pour ranger tout l'appart parce que putain, tu peux pas laisser quelqu'un rentrer chez toi quand ta maison est dans un état pareil. trop de temps passé à squatter le canapé tous les trois, à faire des soirées pizza netflix, à pousser le bordel du pieds plutôt que de ranger. alors tu t'actives avant d'envoyer ton message à aron, celui qui dira qu'il peut venir quand il veut. quelques minutes après, tu sens ton téléphone vibrer dans la poche de ta veste. tu le sors délicatement, précieuse petite boîte, le déverouilles pour voir la réponse du fameux livreur. une demie-heure. ça te donne parfaitement le temps de ranger un minimum ta chambre et te préparer. tu y disparais quelques minutes, histoire de cacher tout ce qui pourrait révéler un secret qui doit le rester coûte que coûte. faudrait pas qu'un inconnu que tu vas te faire comprenne ce que t'es. pas que t'en aies honte, loin de là. faudrait juste que tu le fasses payer après, que tu te dis en rigolant légèrement. tu regardes partout autour de toi, de peur d'avoir manqué quelque chose, n'importe quoi. un rien pourrait te trahir et c'est ça qui te fait le plus flipper. t'essaies de pas y penser, mais t'appréhendes cette partie de la soirée, celle où tu l'emmèneras dans ta chambre, lui montrera la pièce, cette pièce qui est tellement toi. ton intérieur. ton esprit aménagé. tous tes secrets s'y trouvent et tu comptes laisser un inconnu y entrer. respire, vesper. tout se passera bien. tu l'as déjà fait, tu peux le refaire. tu te détournes avec beaucoup de mal de la pièce pour te diriger dans la salle de bain, consacrer enfin un peu de temps restant à te préparer. une douche rapide, une tenue bien choisie, un maquillage léger. tu zieutes avec envie ce rouge à lèvres bien pétant, celui qui laisse des traces de son passage, qu'importe ce qu'il touche. après cet échange de messages, tu te sens d'humeur dominatrice, prête à tout pour te faire obéir et obtenir ce que tu veux. alors quelques tâches de couleur pour marquer ton territoire ne te déplairaient pas, loin de là. tu prends le tube entre tes doigts, le tourne et le retourne encore et encore avant de finalement l'ouvrir, essuyer ta bouche d'un coton imbibé de démaquillant et le mettre. tu fais claquer tes lèvres, embrasse ton miroir, parce que tu sais que ça fera chier ton frère quand il rentrera et verra la marque. tu gardes le tube dans tes mains, l'emmènes avec toi hors de la salle de bain, dans la salle de vie. le pose sur le comptoir, à portée de main, là si tu veux marquer aron plus que tes lèvres n'en seraient capables. et là, tu attends. assise sur le canapé, jambes croisées. le merveilleux ding de la sonnette qui finit finalement par retentir. tu te lèves en courant presque. ton impatience est tellement visible, t'as envie de lever les yeux au ciel. tu ouvres. et tu le vois. là. devant toi. encore mieux qu'en photo. alors tu lui sers ton plus beau sourire, celui que tu réserves à ta caméra habituellement. "bonsoir. j'espère que tu as mon colis et qu'il est intact."


( PANDO )


@Aron Lowry

INVITÉ
invité
Anonymous
(#) lun 18 avr - 18:25 taguer
Elle est juste là.
Derrière cette porte, il y a cette fille qui, en une soirée, a réussi à te tirer de tes draps dans lesquels tu lambinais depuis des heures. Cette fille qui, comme toi, avait besoin d’oublier un quelqu’un le temps d’une nuit pour alléger son quotidien rongé par une frustration constante. Tous les moyens sont bons pour effacer de ta mémoire ces attentions qui empoisonnent ton quotidien. La seule différence entre Vesper et toi, c’est qu’elle veut oublier le visage d’un bien aimé en trouvant une certaine forme de réconfort dans les bras d’un autre.

Alors t’as accouru. Foutu syndrome du sauveur ? Non, pas cette fois. Ou peut-être que si, un peu. T’as plutôt l’impression que vous vous sauvez mutuellement, même si elle n’a pas idée du nombre de trucs qui peuvent trotter au fin fond de ta tête.

Une fois ta douche prise en deuspi, t’avais troqué ton sweat à capuche pour un haut simple, convaincu que tu n’allais pas le garder longtemps en arrivant. Compte tenu du programme, … Non ? Cette pensée t‘avait fait sourire, laissant un peu plus croître cette impatience que Vesper avait fait naître au fur et à mesure de vos échanges subjectifs. Il avait fallu de longues minutes devant le miroir pour finalement décider d’y aller comme ça… Simplement. Un moment passé à t’observer dans ce reflet, retrouvant ce visage que tu avais délibérément mis de côté il y a presque un an.

Renaissance.
En espérant que ce ne soit pas un coup tordu …
Alors oui.
Ce soir,

t’es là.

Devant la porte de cette fille que tu ne connais ni d’Adam, ni d’Eve. Cette fille qui va probablement te mener par le bout du nez, parce qu’elle est ce genre de nana forte en caractère et que c’est ce qui fait son charme… Mais tu te débines pas, parce que t’as fait tout ce chemin jusqu’à cette foutue porte où tu prends une grande inspiration. A quand remonte ce type de plan ? Quelques mois ? Une éternité ? Lorsque ton château de carte s’est effondré, t’as coupé tout lien social pour t’isoler au fin fond de l’enfer dans lequel elle t’avait trainé… Alors oui, cette porte devant laquelle tu fais le piquet, elle représente bien plus que toi dans ta petite tête…

C’est le moment où tu reprends possession de ta vie, petit à petit.
Il y a d’abord eu ce tsunami causé par William. A lui seul, il avait ouvert à nouveau les vannes de toutes ces choses que tu avais rangé au fin fond d’un tiroir pour t’enfermer dans la solitude il y a presque un an.

Longing for love.
Craving for attention.
C’est peut-être de sa faute à lui ?
Ou plutôt grâce… ?

Cette solitude que tu détestais du plus profond de ton âme te poussais ce soir dans les bras d’une parfaite inconnue, au plus grand damn de ces démons qui t’avaient tourmenté, encore et encore.

Ce soir ne sera qu’une nouvelle expérience que tu accueilleras à bras ouverts… Alors, après avoir pris quelques secondes pour réfléchir, tu sonnes. Et la machine se met en marche, comme si elle n’attendait que ça ; tes lippes malicieuses affichent un rare sourire à la jeune femme qui apparaît dans l’entrebâillement de la porte.

There is no going back and she’s damn pretty.

Poor guy. He doesn't even know what he’s missing.

Tu incline légèrement la tête, laissant un rire cristallin s’échapper. T’y peu rien, ça t’enchante de voir qu’elle joue le jeu et ça t’annonce tout de suite le type de soirée que vous allez passer. Bien sûr. Tu doutes de mes talents de livreur ? Je suis même à l’heure. Tu t’avances à l’intérieur de l’appartement lorsqu’elle t’invite à entrer. Tu pourrais rejoindre le salon, mais tu préfères ne pas trop prendre l’initiative de prendre tes aises trop rapidement.

Alors ? Contre toute attente, alors que la belle ferme la porte derrière toi, tu pivotes sur tes talons pour lui faire à nouveau face. Est-ce que la marchandise correspond à tes attentes ? Tes mains qui s’étaient réfugiées dans tes poches tirent légèrement sur ta veste pour l’ouvrir. Tu fais le malin en te présentant comme un objet, mais l’idée t’éclates. Tu tournes légèrement place, dévoilant dans le mouvement tes formes. Ou bien retour à l’expéditeur ?Ce sourire feignant une déception grossière, tu t’avances vers elle, réduisant alors considérablement cet espace entre vous. Le colis sera déçu…

Tes doigts fins viennent alors replacer ses cheveux derrière son oreille. Opportuniste ? Probablement… Parce que, ouais, t’en profite, de cette proximité pour tenter une première approche – même si tu ne doutes pas une seule seconde que Vesper sera capable de tout. Tes yeux parcourent alors son visage. D’abord ces iris bleutées qui t’emportent, puis ses lèvres dont la couleur vive attire rapidement ton attention. C’est comme si ces lippes teintées de rouges te narguaient et te mettaient aux défis de les capturer immédiatement. Douce tentation à laquelle tu ne cèdes pas immédiatement. Et ta main se risque à effleurer sa joue, pour frôler le contour de ses lèvres.

Ça te va bien... T’es vraiment jolie.

Compliment soufflé, t'es comme fasciné au moment où tu ouvres une dernière fois la bouche. Simple vérité qu'il se doit de verbaliser.

Were she going to play hard to get ? It was up to her.

((@Vesper Murphy))

INVITÉ
invité
Anonymous
(#) lun 18 avr - 20:04 taguer

( KEEP ME UP TIL 4AM )
galopant vers la porte, tu t'arrêtes un instant avant de l'ouvrir. t'es vraiment sûre de ce que tu fais ? c'est pas la première fois que tu prévois de te faire un mec, une histoire d'un soir. mais là t'as une raison, une motivation, quelque chose qui te pousse à le faire. l'objectif d'oublier cette gueule d'ange qui fait battre ton coeur plus vite et tournoyer tes pensées. ouais. t'es sûre de toi. faut que tu l'oublies, le garder si proche de toi ne te fera que du mal et t'en es consciente. alors t'ouvres cette foutue porte et accueilles la personne qui se trouve derrière. fidèle à la photo de lui que tu as vu sur les réseaux. tu le regardes en long, en large, en travers. imprime la vision dans ta tête. t'as envie de lui arracher son putain de sourire de la gueule. t'as pas envie de sourire, pourtant tu te forces. ce sourire que tu as perfectionné, fait et refait devant les écrans, les regards pervers, ton propre miroir. ce sourire que même ton frère ne connait pas, comment le pourrait-il ? tu lui lances une phrase digne d'un film érotique, ça le fait rire, tu te sens fière. ton sourire devient un peu plus vrai. il se prend au jeu et tu peux pas t'en empêcher, tu souris pour de bon cette fois. pas ce masque horriblement travaillé. tu l'applaudis lentement, le félicites d'être à l'heure. quel bon livreur. tu lui fais signe de s'avancer et il te suit, toutou bien dressé. tu fermes ta porte doucement et quand tu te retournes, il est face à toi. il te questionne, tourne sur lui-même et tu lui réponds honnêtement, quoi qu'un peu en flirtant. "l'emballage a atteint les attentes. mais pour me faire une idée, il faudrait que je l'essaie..." ça te fait rire, ce petit jeu. t'as jamais été contre le roleplay, loin de là. ça fait partie des choses que tu préfères montrer à ton audience. mais tu dois avouer que ça faisait longtemps que tu n'avais pas joué pour toi et pas pour les autres. il est proche de toi. seulement quelques centimètres vous séparent. il tend une main, replace une mèche de tes cheveux derrière ton oreille. tu souris et réduis encore l'espace qui vous sépare. millimètres de distance entre vous semble encore trop. tu sens son regard sur toi, sur tes yeux, sur tes lèvres. une nouvelle fois, tu souris. il a ce truc, ce je ne sais quoi qui te donne envie de sourire encore et encore, de lui répondre uniquement avec la comissure de tes lèvres. tu sens sa main effleurer ta joue et tu te penches dans le geste, comme pour t'y confondre. son doigt qui caresse tes lèvres, ses compliments. tu peux pas t'en empêcher. tu te mets sur la pointe des pieds et attrape ses lèvres des tiennes. rouge imprimé sur lui, preuve de ton action. "le colis semble vraiment prometteur. surtout maintenant que je l'ai personnalisé." tu rigoles toute seule, cache ta bouche de ta main avant de partir dans la cuisine, t'accouder au bar et lui lancer un petit sourire charmeur. "est-ce que je peux te proposer quelque chose ou tu préfères passer à des choses plus... sérieuses ?"


( PANDO )


@Aron Lowry

INVITÉ
invité
Anonymous
(#) ven 22 avr - 22:17 taguer
Tendresse. Un mot qui te caractérise et, qu'importe le moment et avec qui, tu ne peux te passer t'en passer. Vesper avait fait part de ses préférences ; tu n'irais pas contre sa volonté, mais à aucun moment tu n'allais te priver de faire preuve de douceur lorsque l'occasion se présenterait. Vous ne vous connaissez que depuis quelques heures, ni d'Adam ni d'Eve et pourtant tu sais que tu ne feras preuve d'aucune retenue. T'es comme ça, t'y peux rien. T'aimes donner, parfois plus que de recevoir. Ca n'implique pas des sentiments - pas totalement.

Ses lèvres contre les tiennes. Il y a ce flot d'émotion. Tu n'irais pas jusqu'à dire que tu tomberais amoureux... C'était court, mais suffisant pour te rappeler des sensations que tu t'étais interdit jusqu'à peu. Tu pourrais perdre pieds, péter le seul fusible qu'il te reste, mais non. Sans réellement savoir comment, tu résistes à cette pulsion. Ce n'est que temporaire. Tu veux pas tout gâcher, refusant de tenir le rôle du gars "facile". Malgré tes battements de cœur qui résonne contre ton tympan, tu parviens à rester de marbre.

Elle a failli t'avoir, la belle Vesper... Et tu souris, on ne peut plus, portant tes doigts à ta bouche alors qu'elle s'éloigne en riant. Comme une marchandise qu'on marque pour se l'approprier, te voilà teinté de rouge. La couleur se dépeint légèrement sur le bout de tes doigts. C'est ni repris ni échangé maintenant. T'as l'impression d'avoir marqué un bon point d'une certaine manière. Peut-être que t'auras d'autres "récompenses" de la sorte au cours de votre soirée ? Combien de marque pourras tu compter à ton retour à la maison ? Sans réellement chercher à formuler ce questionnement, tu rejoints ton hôte, regardant au passage brièvement l'appartement - comme si ce dernier allait t'aider à en apprendre davantage sur elle. Tu es curieux, Aron, curieux de connaître ton prochain, mais ce soir, ta curiosité est limitée : Vesper attire toute ton attention. Et puis, à bien y réfléchir, as-tu réellement envie de savoir ce qu’il peut se cacher derrière un vase, ou la couleur des murs ? Non. Ce que tu veux savoir, à l’instant T, c’est si ce rouge qui habille ses lèvres restera indemne jusqu’à la fin de la soirée. Tu veux savoir si son corps frissonnera contre le tien, des multiples caresses que tu pourrais lui prodiguer pour obtenir ses faveurs… Ouais, tout ce que tu veux savoir, tu veux l’explorer de diverses façons.

Comme un aimant, tu te sens inlassablement attiré vers elle ce soir. Tu peux pas cacher ces yeux qui crient famine, dévorant chaque recoin de son visage, de sa posture jusqu’à ce sourire que tu trouves bien provoquant maculé de rouge. Cette mise en bouche m’a ouvert l’appétit. Du revers de ta main, t’essuies tes lèvres, cherchant à effacer ce marquage clandestin. Tes iris provocantes ne la quittent pas une seule seconde, la mettant au défi de recommencer… Puis, quand ton bras retombe contre toi, t’as un mouvement de recul afin de te permettre d’ôter ta veste. T’as tellement chaud qu’en posant celle-ci sur le tabouret à côté de vous, tu secoues légèrement ton débardeur,... Un moyen comme un autre d'aérer ton corps qui est en train de bouillir lentement avec ce petit jeu de séduction.

Demander un verre d'eau maintenant ferait un peu tâche non ?

INVITÉ
invité
Anonymous
(#) sam 23 avr - 20:19 taguer

( KEEP ME UP TIL 4AM )
geste plus calculé que jamais. tu l'embrasses rapidement. un baiser léger pour lui donner un avant-goût de la soirée, ce qui l'attend. la fierté qui te prend aux tripes quand tu vois le rouge sur ces lèvres, marque de toi, preuve de ton passage. tu cintinues votre petit jeu d'une phrase pendant qu'il porte ses doigts là où tu l'as touché. tu téloignes et il te répond. c'est qu'il est drôle, aron. alors tu ris légèrement. tu cours te cacher derrière ton comptoir. laisse de la distance entre vous. le plus proche tu es de lui, le plus fort sont tes envies de lui arracher ses fringues, le marquer comme tien, l'emmener loin des regards indiscrets. t'ouvres le frigo, un placard, pour te servir un verre de jus d'orange, joues à la parfaite petite hôte de maison en lui proposant quelque chose, n'importe quoi. de l'eau, du jus, un en cas, toi. il te lance une phrase, mais rien qui te dise s'il a besoin de boire quelque chose. alors tu lui fais savoir. ça me dit absolument pas si t'as envie d'un verre ou non, ça. tu l'observes avec un petit sourire en coin, tes coudes te supportant, posés sur le comptoir. tu l'observes pendant qu'il essuies ses lèvres et tu fronces les sourcils. et voilà, la trace de ton passage est partie. tu peux voir quelques tâches colorées autour, quelques endroits où la couleur reste bien accrochée. c'est qu'il est dur à enlever, ce rouge à lèvre, même avec du démaquillant. t'en as fait l'expérience plus d'une fois, des heures passées dans la salle de bain, à t'arracher les lèvres avec le coton trempé, mouillant tes doigts, gouttant jusqu'à tes avant-bras. à râler parce que, putain, tu vois encore du rouge sur ta tronche. si t'arrives pas à l'enlever avec des produits pour, t'imagines bien le résultat sur l'autre, sans rien. il cherche ton regard et tes yeux restent bloqués sur les siens. pour rien au monde tu briserais ce lien. il devra le briser avant toi. du coin de l'oeil, tu le vois enlever sa veste, agiter son haut comme pour signifier qu'il avait chaud. tu penses aux glaçons dans ton frigo, te demande si ce serait trop pour lui. sûrement. il a bien dit qu'il faisait dans la douceur. le temperature play, c'est pas pour tout le monde et tu le sais bien. mais tu demandes quand même. j'te donne si chaud que ça ? j'ai de quoi te rafraîchir, si t'es intéressé.e... tu pointes du doigt le congélateur quelque part derrière toi. t'attends pas forcément de réponse, tu te diriges déjà vers lui, contournes le bar lentement, laissant tes doigts traîner sur la surface, jouer, courir. t'es face à lui, à présent. tu te rapproches, laisse quelques centimètres entre vous. tout est calculé. c'est un jeu d'échec et tous tes mouvements ont déjà été planifiés. tu comptes gagner la partie. le jeu qu'il y a entre vous. tu laisses tes doigts se balader sur sa poitrine. continues de le regarder, droit dans les yeux, avec cet air sûr de toi. parce que tu l'es, on t'a déjà dit que t'étais même trop confiante en toi-même, tu crèves le plafond. ou alors je peux t'aider à te rafraîchir... tu commences à passer tes mains sous le tissus, le remonter lentement même si tes doigts tremblants doivent témoigner de ta hâte. t'aimerais aller vite, que tout soit rapide et fort et violent. mais tu te dois d'être lente et attentionnée. pourtant quand il est temps que sa tête passe le col, tu t'empresses. t'entends un petit bruit. un bruit qui n'aurait pas dû être là. tu fronces les sourcils une nouvelle fois. que s'est-il passé ? tu regardes le vêtement, confuse, te détournes d'aron. merde. t'as fait une connerie. t'espères qu'il t'en voudra pas trop, faudrait pas que ça nique votre soirée. j'suis désolée, aron. j'crois que je l'ai un peu déchiré. j'ai vraiment pas fait exprès, j'te jure. tu lui sers ton regard le plus sincère. le jeu est fini, t'as mis en pause, tu fais pouce. tu gardes le vêtement entre tes mains, tes articulations blanchies tant tu sers fort. tu tentes de cacher la déchirure, pourtant elle est visible entre tes doigts. j'suis vraiment désolée, c'est pas ce que je voulais faire du tout. tu te remets sur la pointe des pieds, pose un nouveau baiser, hésitant cette fois, sur ses lèvres. comme pour te faire pardonner, comme pour éviter de t'excuser une nouvelle fois. pourtant t'en as envie, bordel c'que t'en as envie ! mais tu te contentes d'un petit tu me pardonnes, aron ?, dit avec une toute petite voix que tu veux mignonne. c'est pas si grave, après tout, pas vrai ?


( PANDO )


@Aron Lowry

INVITÉ
invité
Anonymous
(#) lun 9 mai - 14:24 taguer
T’as plus trop l’habitude de ce petit jeu, alors petit à petit, t’as l’impression de reprendre en main certains codes que tu pensais avoir oublié. Mais c’est comme le vélo – t’as beau croire que tu sais plus comment fonctionne les relations humaines, tout ces habitudes que t’avais lutté pour oublier, afin de ne plus ressentir la chaleur des autres contre toi… Tout revient au galop, quoique tu fasses. Dans cette manière que t’as à vouloir toujours garder le contact avec ses iris bleutées, à cette sensation d‘être inlassablement attiré vers elle. Alors ouais. T’as faim, t’as soif, mais t’as surtout envie d’être le centre de l’attention – son attention, c’est pourquoi tu veux pas trop que Vesper se préoccupe de savoir si tu veux boire quelque chose ou pas. Elle est encore trop loin de toi.

Va pour un verre d’eau. Tu pourrais le lui dire, alors que tes lèvres se tirent pour enlever la peinture tenace sur tes lèvres. Ne jamais rejeter l’offre de ton hôte, par politesse. Mais t’as pas vraiment le temps.

Tout dans ton attitude est propice à être analysé par la jeune femme. De la façon dont tu la regarde à cette manière que t’as de bouger ton t-shirt après avoir retiré ta veste. Tout. T’as presque envie de te justifier quand elle te demande si t’as chaud – innocence habituelle – parce que tu t’es un peu dépêché ; mais a-t-elle vraiment envie d’entendre ce genre de choses ? N’es-tu pas censé répondre qu’effectivement, c’est bien elle qui fait monter la température d’un cran à chaque parole ? Alors, en guise de réponse, tu rigoles simplement. A quoi bon parler. Vesper sait déjà pourquoi t’es comme ça. Tes lippes s’étirent à nouveau, un peu plus à chaque pas qu’elle fait qui la rapproche de toi… Et toi tu t’ancre, un peu plus, dans le sol, sachant pertinemment qu’il te faudra faire preuve de sang froid pour ne pas craquer trop vite. Elle veut t’aider à te rafraîchir. Euphémisme, quand on sait que chaque empreinte de doigt posé sur le tissus laisse une sorte invisible et brulante sur ta peau. Ah oui ? Je demande à voir… T’essaies de rester sur de toi pour relever le niveau face à cette fille de braise, la pousser un peu plus au vice, savoir lequel de vous deux craquera avant l’autre. Ta respiration se coupe presque instantanément lorsque Vesper passe les mains sous le haut. Sentant ses doigts effleurer ta peau dans un geste calculé, t’as le frisson qui parcours ton échine et elle gagne cette première bataille. Obligé de lever les yeux au ciel face à ce supplice, juste avant que ton t-shirt te brise la vue en tentant de passer ta tête pour l’enlever. Tu t’es laissé faire, même en entendant ce bruit légèrement désagréable qui ne présage rien de bon pour le morceau de tissus… Mais tu t’en fiche en vrai. Cet air surpris, c’est surtout de voir la réaction de Vesp’, complètement confuse face à la situation. Elle s’excuse une fois, puis deux, tentant de se justifier. Elle t’embrasse, pour se faire pardonner, restant accrochée à ce chandail.

Tu cherches à me rendre jaloux ? T’essaies d’avoir l’air sérieux un court instant, mais t'arrives juste à afficher une sorte de moue partagée entre amusement et fausse déception. Tu réduis à nouveau l’espace entre vous, refusant qu’elle s’éloigne pour un truc aussi futile. Ta main vient saisir le t-shirt qu’elle s’efforce de garder entre ses doigts. C’est difficile pour toi, parce que tu veux pas qu’elle culpabilise et tu veux juste la rassurer en la prenant dans tes bras… Mais vous n’êtes pas assez proche, que penserait-elle de toi ? Tu préfère t’agripper à ce truc plutôt qu’à moi ? Et c’est plus fort que tout. A ton tour, tu viens déposer avec douceur un baiser au creux de ses lèvres, comme pour verbaliser ce pardon qu’elle attendait impatiemment. Quelques secondes, pour ne pas t’emballer, suffisamment pour marquer que les excuses sont acceptées même si elles n’ont pas lieu d’être. Quelques secondes pour encrer suffisamment, un peu plus, tes lèvres de cette couleur criarde. Ta main libre est venue se déposer doucement sur le menton de la belle, pour l’obliger à lever la tête en ta direction – un autre moyen de garder le contact pour toi, de sentir cette connexion entre vous.

C’est que l’emballage tu sais ? Le principal, c’est de pas me casser moi non ? Tu murmures, sans pour autant écarter ton visage du sien, comme une confession. Tu sais pas ce que la soirée va vous apporter à tous les deux, tu sais pas combien de temps vous resterez éveillé… Et tu sais pas si demain tu seras pas juste cassé, compte tenu de vos échanges par écrit. Tes paupières se ferment, quelques instants, avant que tu te décides d’appliquer ce rouge avec tes lippes, partant du coin de ses lèvres le temps d’un nouveau baiser déposé, glissant le long de sa joue pour marque une nouvelle fois sa peau si pâle avant de continuer pour déposer une ultime marque à la jonction de sa mâchoire et de son cou.

Te voilà plutôt satisfait de ton œuvre, même si la marque s’estompe au fil du chemin. Elle n’a peut-être pas remarqué ton petit manège, mais c’est bel et bien une petite vengeance personnelle pour le coup. Le t-shirt que tu as récupéré quelques instants plus tôt vole sur le côté, comme un vulgaire papier cadeau, pour permettre à tes doigts de s’aventurer sur sa taille, les uns après les autres, à la recherche de la fermeture éclaire de sa robe. Soit elle est sur le côté, soit derrière, tu le sais par expérience. Ils continuent d’explorer, patiemment ce morceau de tissus, jusqu’à trouver la cible. Est-ce que j’emploi ta méthode ou la mienne ? Tu demandes, cherchant à la taquiner comme tu sais si bien faire. Un moyen comme un autre pour obtenir son approbation afin de reprendre ce petit jeu qui avait si bien commencé entre vous deux. Il n’y a pas de raison pour que tu sois le seul à retirer le haut, n’est-ce pas ?

@Vesper Murphy I love you désolé du retard chaton j'espère que ça t'ira

INVITÉ
invité
Anonymous
(#) dim 15 mai - 3:56 taguer

( KEEP ME UP TIL 4AM )
t'avais fait une bêtise. petite, certes, mais ça restait une bêtise. ça craint, honnêtement, de déchirer le t-shirt de ton date sans même le faire exprès. t'aurais été brute, encore, ça aurait été compréhensible. mais t'as tout fait pour rester douce, calme, ce que tu savais que l'autre appréciait. t'avais pas en tête de le séduire, pas dans l'optique que ça aille plus loin qu'une nuit. mais t'en savais rien, après tout. peut-être que c'était qu'une première fois, peut-être que la soirée se passera si bien qu'oublié à jamais, le william. remplacé par aron. t'en sais rien, t'espères rien, et t'as pas envie de tout foirer, encore moins pour un stupide t-shirt déchiré involontairement. alors tu t'excuses, encore et encore, l'embrasses en demandant le pardon. t'aimerais te cacher au fond d'un trou. t'as peur de le voir s'énerver, passer la porte et ne plus jamais le revoir. sauf qu'iel dit cette phrase, et son air étrange te prend de court. tu fronces les sourcils, entrouvres la bouche. est-ce qu'iel attend une réponse ? mais rien ne sort de ta bouche. iel se rapproche et attrape le vêtement, le force hors de ta poigne, et le jeu semble reprendre. est-ce que c'est sa façon de te dire qu'iel aimerait que tu le prennes entre tes mains comme tu l'as fait avec le tissus ? tu cherches peut-être de la profondeur dans une phrase qui n'en a aucune. t'es pas le genre de personne à tout analyser, pourtant, pas le genre à te monter la tête pour un rien. tu jettes un coup d'oeil à sa main, au vêtement toujours à l'intérieur. non, que tu lâches d'un souffle. relèves la tête pour te retrouver embrassée. le voilà, ton pardon tant attendu. et tu soupires, mentalement. t'as rien niqué. c'était rien, c'est déjà oublié. tu profites du court baiser, de cette magnifique vue que tu as sur ses lèvres à nouveau colorées par les tiennes, de sa main qui vient se poser sur ton menton directement après. tu le laisses faire, le laisses te regarder dans les yeux, tu fais de même, un petit sourire qui se fraie un chemin sur ton visage contre ton gré. iel recommence à parler et tu ris légèrement aux mots, vous êtes repartis sur ce truc stupide de colis. c'est si idiot, mais t'aimes bien. ça dépend, si je le casse, est-ce que j'ai le droit de garder le colis ? et t'as pas envie de le briser, pas d'une façon qui pourrait lui déplaire en tout cas. t'en fais pas, je ferais attention à pas te briser, que tu te mets à murmurer, parce que vous êtes si proches, c'est si intime, comme si tu t'apprêtais à lui révéler un secret. iel pose ses lèvres une nouvelle fois contre les tiennes, les teinte une nouvelle fois de ce rouge si particulier. tu sens ses lèvres se poser délicatement sur ta joue et tu le sais sans avoir besoin d'un miroir. iel t'a marqué comme tu l'as fait. même si la marque ne doit pas être aussi visible, vu que, après tout, c'est toi qui a appliqué ce rouge à lèvres maudit, pas lui. puis, en un battement de cils, ses lèvres sont sur ta mâchoire, sur ton cou. tu peux pas empêcher le sourire qui se fait une place sur ta face, juste heureuse qu'iel ne puisse pas le voir, voir l'effet que ses baisers, qu'iel a sur toi. tu entends le bruit du tissus voler et vois juste une tâche blanche, du coin de l'oeil, se former sur le sol. iel a jeté le t-shirt, t'en es sûre. la main désormais libre, iel se met à tâter ton côté puis ton dos avant de finalement trouver la fermeture éclair de ta robe. t'as fait un effort pour t'habiller, ton premier vrai date depuis des années. même si, aux vues de votre conversation et de l'application où elle s'était déroulée, t'allais plus que probablement tout perdre rapidement. ça te convenait parfaitement, sinon qu'est-ce que tu branlais sur tinder, vesper ? tu entends ses mots, iel te laisse le choix. et tu sais pas. tu sais pas quoi lui répondre. est-ce que tu veux que tout soit doux, attentionné, comme iel le préfèrerait sûrement ou est-ce que tu aimerais que ce soit fort, assez pour te faire oublier le monde entier, te faire voir des étoiles toute la nuit ? tu dis pas que sa méthode en serait incapable, t'en sais rien. t'as juste tellement l'habitude des choses fortes, à la limite de la violence. t'es pas quelqu'un de doux, après tout. tu cherches ta réponse, l'aides à enlever ta robe en enlevant les bretelles toi-même. lui restera comme seule action de la descendre. et s'iel l'enlève totalement, vous serez à égalité. ou peut-être pas, vu qu'il te restera sûrement plus de vêtements, un haut, une paire de collants. mais d'un autre côté, tu seras en sous-vêtements. est-ce réellement égal ? tu repenses à ce choix que t'as à faire. choix qui décidera de toute votre soirée, probablement. t'aimes ce genre de pouvoir. avoir toutes les possibilités entre les mains, le contrôle, t'as l'impression de te retrouver sur ce trône que ta communauté de fans inconnus t'a offert sur internet. tu te dis que, après tout, t'as tellement l'habitude des émotions fortes, des montagnes russes et de la force brute que, peut-être, une fois dans ta vie, un peu de douceur et d'attention ne te ferait pas de mal... alors tu annonces ta décision, le redressant, pour l'avoir face à toi. tu le regardes dans les yeux, passes tes bras autour de son cou, laisses les mots sortir de ta bouche lentement, doucement. on va employer ta méthode, si t'es d'accord. simple, presque silencieux, tu te rapproches pour l'embrasser une nouvelle fois, sceller les mots entre vous. t'empêcher de revenir sur tes pas. te décroches enfin de ses lèvres, quelques secondes après, long baiser pour que tes paroles n'aient aucune chance de s'échapper. ta tête se pose instinctivement dans le creu de son cou, où tu déposes un petit baiser, peau à peine effleurée. tu te demandes si les suçons, les morsures, même douces, simples mordillements, feraient partie de sa méthode ou de la tienne. ta tête est remplie de son odeur et tu te sens si paisible, là. pourtant tu te décolles de lui, enlèves tes bras d'autour de son cou avant de lui prendre doucement la main, jouer un peu avec ses doigts d'une main distraite. t'es déjà tournée vers le côté, le salon, le couloir, vers la porte de ta chambre, quand tu proposes. tu veux qu'on se cale quelque part d'un peu plus confortable ? tu sais que la dernière option finira par arriver, à un moment ou l'autre, dans la soirée. même si t'aimerais bien faire ça sur le canapé, juste pour voir william poser son cul sur un endroit où t'aurais été nue avec quelqu'un, sans qu'il puisse s'en douter. parce que toi, au moins, tu sauras, et ça te fera marrer.


( PANDO )


@Aron Lowry


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